Bourré de créativité, ce monument parle. Nombre de phrases y sont inscrites sur les murs et les plafonds, beaucoup de maximes. l'une d'entre elles me frappa:
"ne fais pas à ton prochain ce que tu n'aimerais pas qu'on te fasse"
Très juste. Je vais donc prendre mon courage à deux mains et me confronter à cette fille avec qui j'ai couché l'autre jour. Je lui ai proposé - une semaine après la nuitée - de boire un verre tout à l'heure. Il faut en parler, mettre les choses à plat. Car de son côté, je doute que tout soit clair. Un court moment d'absence, de laisser-aller, et voilà le merdier. J'ai couché avec elle, je l'assume, pas de soucis. Or il semblerait qu'elle veuille plus. Et là, non. Je vais lui dire. Je déteste faire ce genre de chose, sa réaction m'inquiète.
Et il y a Christophe l'un des sportifs du calendrier, je dois le voir plus tard dans la soirée. Il joue un jeu dangereux. Il risque de se brûler les doigts. Là, je laisse venir, il est prévenu de toute facon. Il semblerait que je sois un prédateur, un gentil prédateur, un peu prédateur malgré lui /malgré elle /malgré moi, un prédateur honnête et sincère, même timide, un prédateur étrange. J'en ai marre de faire fantasmer les gens. Mais je ne changerai pas pour autant. J'aimerais que quelqu'un me fasse fantasmer pour changer un peu? inversons les rôles? hehe...
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